Conte : n.m. (mot venant de conter).
Le mot « conte » a plusieurs acceptions :
1. Sens vieilli : Récit de faits réels. Histoire.
2. Court récit de faits, d’aventures imaginaires, destiné à distraire (fiction).
Contes populaires.
Contes et légendes germaniques.
– Contes en vers (par exemple ceux du poète français Jean de la Fontaine, 1621-1695), en prose.
– Les contes de Perrault (Charles Perrault, né le 12 janvier 1628 à Paris et mort dans cette même ville le 16 mai 1703, est un homme de lettres français, célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye).
– Les contes d’Andersen (Hans Christian Andersen, né le 2 avril 1805 à Odense et mort le 4 août 1875 à Copenhague1, est un romancier, dramaturge, conteur et poète danois, célèbre pour ses nouvelles et ses « contes de fées »).
– Les contes de Grimm (Les frères Grimm sont deux linguistes, philologues et collecteurs de contes de langue allemande : Jacob Grimm, né le 4 janvier 1785 à Hanau et mort le 20 septembre 1863 à Berlin, et Wilhelm Grimm, né le 24 février 1786 à Hanau et mort le 16 décembre 1859 à Berlin.
– Contes pour enfants. « Contes du lundi », de l’écrivain Alphonse Daudet (1840-1897).
– « Trois Contes », de l’écrivain français Gustave Flaubert (1821-1880).
Contes philosophiques, satiriques.
Locution : Conte de fées : récit merveilleux où interviennent les fées.
Locution : C’est un vrai conte de fées, une aventure étonnante et délicieuse.
3. Sens vieilli ou littéraire : Histoire invraisemblable et mensongère (chanson, fable, sornette).
– Citation du dramaturge et comédien français Molière (1622-1673) : « Ce sont là des contes à dormir debout ».