Éloge : n.m. (mot venant du latin elogium « épitaphe », avec influence du grec eulogia « louange »).
Le mot « éloge » a plusieurs acceptions :
1. Discours pour célébrer quelqu’un ou quelque chose.
Éloge funèbre (oraison), académique.
Éloge d’un saint (panégyrique).
2. Sens courant : Jugement favorable qu’on exprime au sujet de quelqu’un (compliment, félicitation, louange).
Une conduite digne d’éloges.
Éloge enthousiaste (dithyrambe).
– Citation de l’écrivain français Beaumarchais (1832-1899) : « La politique, c’est l’art de créer des faits, de dominer, en se jouant, les événements et les hommes ».
Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur.
Faire l’éloge de quelqu’un le louer, dire du bien de lui (apologie).
Parler de quelqu’un, de quelque chose avec éloge.
Ne pas tarir d’éloges : être très élogieux.
C’est tout à son éloge, à son honneur.
Contraires d’éloge : blâme, critique, dénigrement, reproche.